Le 25 mai 2015, par Gerard,
2 femmes [1] et 2 hommes exemplaire qui illustrent ce que fut "La Résistance", et d’abord ce qu’est "l’esprit de résistance" [2]. Ce souffle fait de convictions humanistes, de combat personnel et de risques pris... toujours d’actualité dans notre monde en recherche de boussole
Cette page leur est dédiée, à l’occasion de l’exceptionnel hommage que leur rend la République ce 26 et 27 mai 2015. En partage avec tous ceux dont l’Histoire a oublié le nom [3]
Reportage. Un aperçu de publications et reportages :
Au travers de cette publication du journal Les Echos. Cliquer
Au travers de cette publication de L’OBS. Cliquer
Reportage vidéo intégral de la cérémonie par France 2. Sur YouTube. Cliquer
Le discours du Président de la République. Document France 2. Cliquer
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Hommage à Simone Veil
La décision de son entrée au Panthéon, document France 3. Cliquer
Sa biographie, dans ce dossier-panorama réalisé par France Culture. Cliquer
Page en cours de construction, sera progressivement complétée
[1] Geneviève de Gaulle Anthonioz et Germaine Tillon :
Geneviève de Gaulle, ses convictions, sa vie, ses combats. Au travers de ce livre lisible sur Google Books que lui a consacré Frédérique Neau-Dufour. Cliquer
Portrait croisé de Geneviève de Gaulle et Germaine Tillon par Frédérique Neau-Dufour. Cliquer
Qui est Frédérique Neau-Dufour. Cliquer
[2] Résistance, redescendons dans ses réalités. Réflexion autour de ces 2 documents par exemple :
Ce portrait de la population française fait à Nancy, Epinal, Dijon le 26 mai 44... 11 jours avant le débarquement de Normandie ! Document INA. Cliquer
Ce que fut dans les mêmes temps La Résistance, ce qu’est toujours ou devrait être l’esprit de résistance. Au travers de cette interview donnée par Geneviève de Gaulle Anthonioz le 16 juin 1978. Document INA. Cliquer
[3] "There is a heroism beyond all, for which no Victoria Cross is given, because there is is no official ennemy nor any sort of firing except one volley in the early morning at some spot where the noise does not echo into the newspapers" (Rudyard Kipling)