Le 18 février 2008, par Gerard,
Le récit d’Aimé Vigneron. Glaçant dans sa sobriété (document PDF ci dessous)
Rappelons que la moitié des déportés de Mühldorf [1] , environ 4 000 sur 8 300, ne sont pas rentrés : morts sur place d’épuisement au travail, de faim, de maladie, ou morts dans les marches et convois d’évacuation vers Kaufering... Dachau [2]
Un exemple : 45 hommes de Moussey se trouvaient là, 2 seulement en sont revenus
Merci à Andréa, madame Vigneron, de m’avoir confié ce récit
[1] Aperçu dans cet article de ce que fut le camp de Mühldorf. Cliquer
[2] Un aperçu de ce que fut l’évacuation de Mühldorf : vers Landsberg/Kaufering/Dachau. Une de celles qui ont concerné l’à peu près totalité des camps, connues sous l’appellation "Marches de la mort" (Todesmärsche en Allemand). Cliquer